Je ne me prends pas pour Joe la pompe, loin de là. Mais de temps en temps, je regarde les pubs dans le métro. Et moi aussi je fais des rapprochements.
Exemple sur un logo d'op promo :
Quelle différence entre les 2 ?
Un date de 2008 et l’autre de 1998 ? Non.
Les 2 sont d’actualité.
Simplement, l’un est hyper, l’autre est super. L’un se rapport aux Hypers du groupe Carrefour :
L’autre aux Supers du même groupe Carrefour : les Champions
De là à croire que les Champions vont passer sous l’enseigne Carrefour, il n’y a qu’un pas… Mais vous le saviez déjà depuis 6 mois / un an. Il ne manquerait plus qu’euro RSCG 360 passe sous l’enseigne BETC euro RSCG… Ça se serait… super ? ou hyper ?
L'agence le fil : - gagne une compet contre Publicis Dialog, Piment DDB et Fullsix - remporte de nouveaux budgets : Coca-Cola, Sofinco et les vins Chamarré - et s'ouvre au grand public chez Kärcher. Pas mal pour la rentrée.
L’objectif de l'op "une pensée pour y penser" est de parler du don d’organes, de la pénurie d’organes et de récolter des fonds pour la Fondation Greffe de vie.
5 points à savoir :
1/ le don d’organes : si vous n’avez pas formulé clairement que vous étiez contre, vous êtes sensé être pour (c’est la loi. Il existe un registre pour s’inscrire si on est contre, mais pas de registre si on est pour). Mais c’est plus simple d’en parler autour de soi, de faire part de son choix à sa famille et à ses amis. Cela simplifie la démarche si jamais la question du don se pose un jour.
2/ la récolte des fonds : les bénévoles de la Fondation Greffe de vie vous proposeront de faire des micro-dons en échange d’une plante : une pensée (ils vous expliqueront à cette occasion la symbolique de la pensée). Mais les dons peuvent d’ores et déjà se faire online, ici (bravo à Saran qui a mis ce système en place).
3/ les dons servent à financer les opérations de mobilisation de la Fondation Greffe de vie autour du don d’organes, mais aussi des formations et de l’achat de matériel médical.
4/ Grâce à une formidable mobilisation nationale, l’Espagne a presque réussi à stopper la pénurie. S’ils en sont capables, pourquoi pas la France ?
5/ Je ne suis pas en attente d’organes pour moi-même ou pour mes proches. Je ne suis pas infirmier ou chirurgien. Ce n’est pas un combat personnel. Pour moi, c’est juste une réflexion personnelle, un choix, un don, en toute fraternité si je puis dire.
J’ai vu Stomp. Enfin, ça y est, oui, je l’ai vu ! Ca fait 10 ans (presque) que je vis à Paris, 10 ans que je voulais voir Stomp : 10 ans que j’ai réussi à ne pas le voir !!! Je suis passionné d’arts urbains, mais les hasards font que parfois, on passe à côté. Aussi je vous laisse imaginer mon éclat de joie quand mon amie Ann Hanssens m’a annoncé le retour de Stomp à Paris et m’a invité à la Générale au Casino de Paris. Alors, Stomp, bien sur, j’avais des images en tête : un décor urban jungle dans lequel des performers inventent une musique à base de percussion de balais et bidons de poubelle. Si ce n’était que cela, Stomp, ça aurait déjà pu me plaire. Mais Stomp, c’est bien plus,… C’est une communion entre huit artistes musiciens hallucinants et le public qui se laisse envahir par la mélodie créée sur des instruments du quotidien : casseroles, seaux, mais aussi boîtes d’allumettes, éviers… C’est un moment de magie contemporaine où le rythme et la gestuelle vous entraînent dans le mouvement. Au bout de quelques minutes mes pieds battent la mesure, mon corps a envie de s’exprimer (je le retiens quand même un peu) et mon esprit s’anime en réponse à l’avalanche d’humour de ce spectacle. A peine arrivé chez moi, je prends un cintre et fait glisser la chemise dessus : ça y est la musique commence et mon public a déjà le sourire aux lèvres.
Stomp, depuis 1991, ce sont 14 millions de spectateurs dans le monde, mais si celui qui lit ces lignes ne fait pas encore partie de ces 14 millions, il sait ce qui lui reste faire (vite vite : plus que 3 semaines).
Ca plane pour moi, c’est l’occasion de prendre un peu de hauteur par rapport à notre société de consommation / d’information / de conversation. Ca plane, c’est comme une vision hélicoptère, le bruit des pales en moins. Ca plane, c’est mon métier : veiller, observer, analyser, proposer des stratégies.
La nouveauté, c’est qu’une partie de ces veilles, observations et analyses se retrouvent ici. A mon avis, pour les analyses, quelques notes de réflexion ou d'interrogation et le fil à couper le buzz : analyse et décryptage dans la blogosphère.
Le Labo Food pour la veille de l’univers food… Mais ici, pas de cooking blogs, pas de recettes… Mais ce qui retient mon attention dans le Food Art, le Food Design, le Food Marketing et tout ce qui gravite autour de ce riche univers.
Côté perso : Culture confiture : la culture c’est comme la confiture, j’étale ici quelques repérages. Greffe de vie : parce que je suis bénévole à la fondation.
un trentenaire qui profite de Paris (soir et week-end) et qui plane stratégique à l'agence Le Fil (journée).
Heureusement, on annonce la fin du type qui dit "seulement de telle heure à telle heure"