mardi 27 novembre 2007

Jour J : une pause de caractère


J'ai parlé il y a 6 semaines d'une animation "une parenthèse de surprise" pour Sodexho.
Le deuxième temps fort du plan "un rendez-vous / des saveurs" commence ce mardi : nous vous invitons dans à "une pause de caractère"...
Des associations explosives, bien trempées, racées, détonantes vous attendent dans votre restaurant !
Miam


Et tant qu'on en est aux confidences, chez Sodexho et le fil, nous pensons que la pause café est un moment privilégié. Nous en profitons donc pour vous donner une astuce pour offrir à vos proches ce moment de caractère dans une ambiance originale et accueillante.

Et d'autres petits conseils déco pour donner une ambiance chaleureuse à votre table...

Vous trouverez les explications détaillées au verso des cartes, dans tous les bons restaurants...

lundi 26 novembre 2007

l'autre compte à rebours

Il parait que c'est dans moins d'un mois...



Le
Gâteau Disco de Fauchon



Bûche de demain “
Désir design” de Jean-Paul Hévin

vendredi 23 novembre 2007

J - 4

Expo Food Art, mais pas que, vendredi 30 novembre

Attention, événement, vendredi prochain !

Dans le cadre des rubriques «
Labo FooD » et « Culture Confiture », j’ai noté un événement pour la semaine prochaine.


Il s’agit de «
Be Happy »... Et comme son nom l’indique, il s’agit d’un événement arty sur la recherche du bonheur. De quoi émoustiller les sens avec les créations d’artistes contemporains
Erotisme, paradis artificiels, jazz manouche... mais c’est surtout auprès des oeuvres Food Art que nous nous attarderons. On retrouvera avec plaisir de nombreux artistes qui sont passés par la
Galerie Fraich’Attitude (partenaire de l’événement), et parmi eux, les heureux parents des minimiam...

Dur dur de vous émoustiller avec quelques visuels… questions de droits à l’image etc.

Le vernissage est ouvert à tous dès 18h, au 61 rue Pierre Charron (Paris 8).

NB : Du 5 décembre 2007 au 5 janvier 2008, une sélection Art and You des oeuvres Be happy sera exposée au Studio, 14 rue Richer, 75009 Paris

mercredi 21 novembre 2007

Belles poitrines et jolies gambettes chez le fil

Mercredi, c’est permis
Ce midi, pour faire une pause, j’ai demandé à Chaïma, Lisa et Marie…
de me montrer leur lingerie
Et vous savez quoi ? Philippe s’est immiscé dans la partie !

Résultat :


Ca vous a plu, vous en demandez encore ?
Alors, attention, sensations…

Plaisir des yeux
(d'ailleurs, elle a de jolis yeux cette jeune femme, vous ne trouvez pas)

Plaisir du toucher…
Plaisir au porter…
Et oui, cela fait plus de 6 ans que les consultantes et les créatifs de l’agence le fil prennent soin des textiles Well… avec passion !

Et en ce moment, pour les lecteurs de cet article uniquement*, un voyage en Thaïlande et des coffrets SPA à gagner ici



* : à moins que le règlement ne stipule autre chose…

vendredi 16 novembre 2007

Design automobile & innovation marketing

Hier soir, en sortant d'un plateau télé, je tombe sur la petite dernière de Fiat : la nouvelle Fiat 500.


Nouvelle, nouvelle… La Fiat 500, c’est quand même un modèle créé en 1957.
Mais la firme italienne l’a relookée, remarketée, pour la relancer avec de gros investissements publicitaires le 4 juillet 2007.
Relancement d’un ancien modèle donc, relooké.
Ce n’est pas sans rappeler la Mini de 1959, redesignée par BMW en 2001.

Ou encore la Coccinelle de 1938, redessinée en New Beetle par Volkswgen en 1998.

Je pensais à cela en lisant l’article de Gilles Lipovetsky : “la fièvre de l’authentique” dans les “Nouvelles Mythologies”. C’est le paradoxe de notre société d’hyperconsommation : le culte de la nouveauté et de l’innovation et le besoin d’authenticité. La nouveauté, c’est l’ “ancien”, le vintage.

Reprenons : Coccinelle, Mini, Fiat 500


3 modèles historiques, créés entre les années 30 et 60
par 3 firmes européennes
redesignées entre 1998 et 2007.
3 voitures qui ont une histoire, un vécu, qui ont connu la gloire, qui sont inscrit dans notre inconscient collectif, 3 autos auxquelles nous sommes sentimentalement attachées…
3 succès pour les nouvelles New Beetle, Mini, Fiat 500

Alors, est-ce que l’industrie automobile va s’arrêter là ? ou bien le filon a-t-il encore des débouchés ?
Je sais bien que l’innovation marketing ne consiste pas à prendre les recettes existantes pour faire de nouveaux succès commerciaux (quoique…).
Mais j’aimerais imaginer.

Reprenons le cahier des charges :
Des véhicules européens inscrits dans notre mémoire depuis la deuxième moitié du XXe siècle…
Qu’est-ce qu’on trouve ?
Personnellement, je vote pour la Deux-Chevaux (Citroën : 1949-1990) et la 4L (Renault 4 : 1961-1994).


Vous ne les imaginez pas ? Relookées
Qu’est-ce que vous en dîtes ?
Vous n’aimeriez pas lire dans la presse “Citroën lance la 2 Chevaux 2” ? “Renault lance la 4L2 ?
Moi, si…

En plus, quand on voit l’enthousiasme de jeunes mariés autour d’une 2 chevaux jaune, je me dis qu’il y a de l’espoir...

Si quelques designers passent par là, n’hésitez pas à relooker pour le plaisir ces 2 modèles d’antan. Si l’idée vous séduit, n’hésitez pas à laisser un message… On interpellera les 2 marques pour voir ce qu’on peut faire… Hihihi

mercredi 14 novembre 2007

Second Life, un monde possible

Vendredi 12 octobre avait lieu le lancement de l’ouvrage “Second life, un monde possible” au Théâtre Paris-Villette. Je n’ai pas eu la possibilité d’y aller, mais Anthony Vessot des éditions “petits matins” a eu la gentillesse de m’adresser le bouquin.




Second life, c’est quoi ?
Second Life, c'est ce dont on parlait avant Facebook...

Second Life, c’est un monde virtuel lancé en 2003 par une société américaine. Tout le monde y a accès gratuitement en téléchargeant l’application sur internet. Et comme son nom l’indique, on peut y créer un personnage (avatar) et grâce à lui, on peut “vivre une seconde vie”. Second Life est donc un monde parallèle dans lequel des milliers de personnes se rencontrent, parlent, travaillent, découvrent des nouveautés, construisent, imaginent une nouvelle façon de vivre. On achète, on vend, on se relooke, on se bagarre, on s’agresse. Bref, on peut faire plein de choses, comme dans la “première vie”.

Mon intérêt pour Second Life
Je me suis intéressé à Second Life en 2006. Je suis marketeur et je trouve le sujet intéressant pour les marques. Second Life permet d’essayer des nouveautés, de tester, de promouvoir des marques. Et ces dernières ont effectivement investi ce nouveau terrain de jeu :

La marque de fringues American Apparel y a ouvert une boutique
L’Oréal a lancé un casting d’avatar
Jean-Paul Gaultier y a organisé le lancement de “les fleurs du Mâle” son nouveau parfum
Europ Assistance y lutte contre les accidents de téléportation
Cetelem est hébergée sur l’île BNP Paribas et répond aux questions sur le crédit
Air France, Axa, le groupe Caisse d'épargne et L’Oréal s’en sont même servis en novembre pour recruter


Quelques chiffres :
7,5 millions d’inscrits
500 000 inscrits actifs (c’est-à-dire passant plus d’une heure par mois sur Second Life)
40 000 connectés en même temps
Cela fait beaucoup de monde inscrits, mais finalement peu de monde en même temps. Les communautés médiatique et marketing en ont beaucoup parlé début 2007. On est loin d’un mass media, mais les actions dans Second Life ont permis de faire beaucoup de RP dans la “première vie”. Les investissements dans Second Life ont un effet surtout par leurs retombées presse. Les entreprises et les marques en tirent une image moderne et novatrice… dans la “vraie vie” !

Mais Second Life nous fait nous poser quelques questions.

Quid des règles du jeu ?
Quand une personne en agresse une autre, quand un avatar en viole un autre, qui le juge ? quelle sanction ? l’éditeur du jeu doit-il déconnecter les coupables ? doit-il les mettre dans une prison de Second Life ? doit-on créer des tribunaux, des assises ?

Il y a beaucoup d’échanges commerciaux sur Second Life. Quelles règles pour ce commerce ? Quels recours à quels tribunaux ? Quelle organisation mondiale du commerce sur Second Life ?

Quelles relations avec l’éditeur de ce monde ?
Chaque personne et chacune de ses actions sont enregistrées sur les serveurs de l’éditeur… Quelle régulation de ce “fichage” ? Quel droit à une vie privée ?

Ce sont quelques unes des questions qu’abordent “Second Life, un monde possible” (sous la direction d’Agnès de Cayeux et Cécile Guibert, essai, les petits matins). Une lecture intéressante pour aborder les enjeux politiques, économiques et sociologiques de Second Life.

mardi 13 novembre 2007

Nouveau site agence le-fil.fr

L'agence vient de lancer son nouveau site.


Dans la lignée de notre communication, pour installer notre territoire de marque

Esthétique et simple
Pratique et ergonomique

N'hésitez pas à le visiter
Et si vous avez des commentaires, vous pouvez les poster ici !

les bloggeurs, les influenceurs et l'humilité

Je fais un aparté.
Dans mon article sur
la rencontre Borloo vs Bloggueurs, j’évoquais « les “bloggueurs influents”, ces bloggueurs qui parlent de l’actualité, des lancements de produits où ils sont invités, qui lancent les buzz, etc » (cf. ma rubrique « le fil à couper le buzz »)
Mais surtout je notais qu’ « aujourd’hui, on ne dit plus “bloggueurs influents”, mais “bloggueurs à forte audience”. »

Je me pose une question :
est-ce une baisse de l’égotisme dans la blogosphère ?
ou simplement de la fausse humilité ?

J’ai
juste l’impression que le “blogging influent”, c’est comme la hype : on ne dira jamais que l’on en fait partie, on ne dira jamais que l’on est un bloggueur influent, mais on sera super vexé si l’on nous dit que l’on n’en fait par partie ou que l’on n’en est pas un.

Vous en pensez quoi vous, chers lecteurs, vous qui êtes "mon audience" ;-)

lundi 12 novembre 2007

Les Mythes du XXIe siècle

Je viens de finir de lire “Nouvelles mythologies”, une série de textes organisés par Jérôme Garcin (j’ai de la sympathie pour Jérôme Garcin ; c’est une voix de mon enfance –heureuse et non traumatisée-, celle du Masque et la Plume sur Inter).

Nouvelles mythologies est un recueil d’articles publié dans le nouvel obs (+ quelques inédits) sur les mythes qui existent en 2007.


D’après la définition de wikipédia, un mythe est une explication concrète de certains aspects fondamentaux du monde : sa création, les phénomènes naturels, le statut de l'être humain, ses rapports avec le divin, la nature ou encore avec les autres humains, par un récit. Le mythe raconte une histoire sacrée pour celui qui appartient à la culture qui le crée.

Jérôme Garcin a demandé à des intellectuels, des journalistes, des écrivains, des sociologies, etc, d’écrire leur vision des mythes contemporains :
Le 20 heures
Les séries TV
L’iPod
Le téléphone portable
La star ac
Le sushi
Kate Moss
Zidane
Les bobos
Les blogs
L’euro
La smart
Le foot

Quelques dizaines d’histoires qui parlent, expliquent, donnent une vision de notre quotidien, qui commentent notre société de consommation / d’information / de conversation.

Certains articles sont un peu intellectualo-intellectuel, mais dans l’ensemble l’idée est plutôt intéressante à lire.
A l’heure où notre société va très vite (informations et fausses informations, rumeurs, messageries instantanés, réponses immédiates à n’importe quelle question, communications, TGV, ADSL, nouveaux produits, innovations…), ça fait du bien de prendre un peu de recul, d’hauteur, de se poser et de regarder où nous en sommes !

L’ouvrage fait écho aux Mythologies de Roland Barthes en 1957. Il y a 50 ans les mythes étaient : le steak-frites, la DS, l’abbé Pierre etc.

jeudi 8 novembre 2007

Roberto Cavalli pour H&M

Quoi de neuf ce matin dans le marketing world ?
Un nouveau buzz ? une nouvelle vidéo virale tellement dingue que vous l’avez forwardée à tout votre carnet d’adresse ? une 4 x 3 avec une blonde qui a Franck Provost dans la peau ? une smart customisée « le livre de la jungle » avec les portes qui clignotent ?

Pour ma part ce matin, je suis allé chez H&M Haussmann. Enfin, « chez H&M », plutôt devant H&M. En effet, je voulais vérifier l’engouement pour le nouveau temps fort de la mi-saison de l’enseigne :
Roberto Cavalli pour H&M avec une collection de quelques dizaines de pièces inédites.
12 personnes à 8h15, 50 à 8h45 => la mécanique fonctionne toujours auprès du public consophile

Petit rafraîchissement de mémoire : depuis 3 ans, novembre voit apparaître une nouvelle collection éphémère d’un styliste plus (Lagerfeld) ou moins (Victor & Rolf) connu du grand public, chez H&M.
Je ne vais pas analyser ici la démarche, je me suis exprimé longuement dans Stratégie l’an dernier à la même époque.


Mais une remarque quand même.

L’an dernier, H&M avait indiqué que cette année 2008, nous aurions de la nouveauté, une autre idée, une autre mécanique. Après 3 succès, c’en était fini de ces collections temporaires avec les stylistes. Et bien finalement, ils ont remis le couvert.

Peut-être pour faire oublier le flop de la collection « Madonna pour H&M » il y a quelques mois. -Certains pourront relativiser la notion de flop. Personnellement, j’estime que si l’on compare les collection Lagerfeld et Victor & Rolf qui partent en quelques heures / jours à la collection Madonna, dont les résidus restent des mois en rayon, on peut bien parler d’échec. Irait-on jusqu’à penser que Madonna n’est pas styliste ??? Mince alors. C’est un autre débat.-

Peut-être tout simplement parce qu’une promo qui valorise l’image, qui crée du trafic et apporte des volumes additionnels, c’est tout ce qu’attend une enseigne de fringues low cost.
La reconduction cette année prouve que la collection Victor & Rolf de l'an dernier était un succès et que la mécanique fonctionne.
Une bonne recette fait bonne recette !

mercredi 7 novembre 2007

Automne médiatique

Après le printemps et sa pluie de prix, une nouvelle saison avec une belle visibilité dans les médias pro pour l'agence le fil... A noter :

1./ CB News de la semaine dernière (N°943 du 29 octobre)

C'était un numéro spécial agences indépendantes.
C'est important l'indépendance, ça n'a pas de prix...
Le fil était dedans, dès la page 3 (face sommaire / édito)


2./ Information Entreprises

Olivia Leroux a rédigé un article sur l'agence après avoir interviewé la fondatrice, Julia Drupt


3./ New bizz

Quelques belles nouvelles références pour l'agence

L’agence Le Fil annonce sa collaboration avec 3 nouveaux partenaires :
Heineken Entreprise (animations points de vente nuit)
Pepsico (consulting, ainsi que conception et mise en place d’opérations trade et événementielles in store)
Yves Rocher (identité graphique et concepts créatifs de la VPC)


Merci à Anne Valérie de CB et Alexandre de Strat pour leur article à ce sujet.

mardi 6 novembre 2007

On va au réf ?

Si je vous dis réfectoire, ça évoque quoi pour vous ?
La cantine, ou plutôt la cantoche, quand vous étiez petits ?
Peut-être aussi les petits pois dans les petites cuillères, la brandade de morue dans de grands bacs, la purée servie à la louche dans votre petite assiette...
Et aussi quelques "beurk, pouah, c'est pas bon".
Je travaille pour un des leaders de la restauration collective, qui assure l'alimentation de quelques centaines de milliers d'écoliers. Et nous essayons de gommer cette image du réfectoire, souvent négative. Nous essayons de la gommer parce qu'elle ne correspond plus à la réalité.

Vu comme ça, le refectoire, ça ne fait pas super super envie... Peu de monde aimerait se réclamer de cet univers.
Peu de monde, à moins que l'on ne se souvienne aussi de sa tendre enfance, de ses années à l'école primaire, les cahiers, les tables ou les murs avec les dessins au feutre, les classeurs, les livres recouverts de papier kraft, et aussi les verres Duralex avec leurs chiffres (t'as quel âge toi ?)

Le patron du Réfectoire (80 boulevard Richard Lenoir, Paris 10) a bien compris 2 clés du succès :
1./ quand on mange, on n'est pas dans son assiette, on est dans un environnement. Créer une atmosphère qui vous rappelle avec émotions les moments de votre tendre enfance, ça vous met forcément dans de bonnes conditions pour apprécier le moment de partage qu'est le repas.
2./ le point numéro 1. est insuffisant s'il n'est pas couplé à une belle carte.
Je ne vais pas vous la dérouler ici, cette fameuse carte, je vous laisse aller la découvrir vous meme… Mais si votre enfance, c'était les carambars ? Alors prenez en un en guise de dessert. Vous avez eu la gentillesse de lire cet article jusqu'ici, alors je peux vous le dire : ce dessert est un petit biscuit recouvert d'une fabuleuse émulsion de carambar. La carte a changé il y a quelques jours, pourtant, le Carambar est l'un des deux desserts qui ont survécu à la nouvelle carte (le second étant le petit pot de crème au lait et caramel beurre salé). Et pendant que nous en sommes aux confidences, le thon mi-cuit accompagné de tagliatelles de salsifi est divin aussi.

Voila où nous avons passé un bien bon moment, hier, à l'occassion de la Sainte Sissi.

Le patron a repris le Réfectoire il y a 2 mois. Il est d'une sympathie communicative.
Passez lui un petit coup de fil au 01 48 06 74 85, et vous pourrez réserver pour 2... ou pour 22, comme dans un réfectoire !

Message personnel

Mais que va devenir Heineken sans Anne...
Il nous reste Ken* ?

Pour faire passer la news, un instant de détente jamaïcaine



* : certains se souviennent de soirées "Anne et Ken"

lundi 5 novembre 2007

C'est du gâteau avec Michalak

Michalak vient de publier son premier ouvrage : c'est du gâteau...
Je reste fan, surtout quand la patisserie a un côté ludique, comme le "cake-haltère" ci-dessous :

Voila une excellente raison pour me (re)mettre au sport.
Vous savez s'il y a une salle de sport au Plaza Athénée ?