mercredi 30 janvier 2008

Balé de Rua : à ne pas manquer

A l’heure même où je rédige cet article a lieu un Show Case et une Rencontre avec la troupe du spectacle Balé de Rua à la Fnac des Halles (Espace Rencontres Fnac Forum, ce mercredi 30 janvier 2008 à 17h)
Et bien malgré moi, je ne peux pas y être, étant assigné à résidence par un mauvais virus.



J’avais pu assister à une représentation exceptionnelle de “Balé de Ruda” au Théâtre Mogador en 2006. C’est vraiment un enchantement, très coloré, extrêmement dépaysant. Je vous encourage vivement à y assister. C’est une composition originale de danses et de percussions magiques qui donne toute sa place au rêve et au plaisir. Il y a énormément d’énergie dans le jeu de ces anciens danseurs de rue issus de quartiers populaires du Brésil.



Issu des danses de rue nord-américaines, de la capoiera et de la samba, le langage de ses interprètes se nourrit également de leurs racines africaines et de leur quotidien, la plupart d'entre eux ayant vécu de petits métiers dans les favelas. Sur des musiques originales et certains grands airs brésiliens, les danseurs s'accompagnent eux-mêmes à grand renfort de percussions. Doués d'une prodigieuse ingéniosité et d'une énergie communicative, ils délivrent leur message d'espoir et de joie à travers des chorégraphies hallucinantes.
Le Balé de Rua raconte l’histoire d'amis qui repeignent le monde tout en couleurs, grâce à la magie du rêve et de la danse.


Balé de Rua
Danses et percussions du Brésil

Au Trianon (80, Boulevard Rochechouart, Paris 18)
Jusqu’au 17 février

vendredi 25 janvier 2008

Exclusif : la prochaine pub Société Générale

Ce matin, en passant du côté de l’agence Saatchi & Saatchi, j’ai eu la chance de découvrir la nouvelle campagne de la Société Générale.
Je vous livre quelques images en exclusivité.




La Société Générale a décidé de continuer la saga de son célèbre pouce, en le positionnant dans des situations d’actualité.
L’idée fonctionne à merveille.

L’idée créative devrait être déclinée en publi-rédactionnel



La baseline devrait être revue, mais un simple « je dis pouce », devrait suffire !

Cette nouvelle campagne continue donc la saga.



On ne change pas un concept porteur.



PS : je profite de cet article pour envoyer mes amitiés à mes camarades de la Société Générale et à toutes les Ressources Humaines du groupe !

mardi 22 janvier 2008

En 2008, je voeux et je vous souhaite



je crois que l'on a jusqu'à la fin du mois de janvier pour souhaiter ses voeux...

auto-promo : pub agence le fil

En ce début d'année dans la presse éco

Envie d'une communication bien ficelée ?

lundi 21 janvier 2008

Laurent, DA chez le fil

Laurent Dubard est arrivé chez le fil en tant que Directeur Artistique

CB News en parlait la semaine dernière :

Laurent Dubard, DA chez Le Fil

Laurent Dubard, 28 ans, a rejoint Le Fil en tant que DA, où il est rattaché à Marie Fresse, directrice de création. Il travaillera notamment sur les budgets Heineken, Yves Rocher, Sodexho, Kärcher et le new business. L. Dubard a commencé sa carrière chez NDC & Associés, avant de rejoindre Publicis Dialog.
16/01/2008 - CBNEWS - Anne-Valérie Hoh

Alors oui Laurent est talentueux, mais plutôt que de lui lancer des fleurs et de vous montrer les campagnes qu'il conçoit pour l'agence (c'est pas le show-room de le fil ici ;-)), je vous invite plutôt à découvrir
le groupe de son frère, The Diplomat.


Je vous laisse imaginer qui se colle soir et week-end sur le graphisme, l’artwork, le merchandising… du groupe !

Décevant Don Quichotte contre l'Ange bleu

J'ai pris l'habitude de vous faire partager mes coups de cœur pour des spectacles dans cette rubrique "culture confiture". Un ami m'a fait remarquer que je pourrais aussi parler de mes déceptions et de ce que j'ai moins apprécié. Dire que je n'ai pas aimé un spectacle pourrait donner plus de valeur à mon discours et valoriser ceux que j'aime (tant il est vrai qu'aimer tout le monde intensément revient à n'aimer personne réellement, enfin vous m'avez suivi).
Ce n'est pas dans ma nature de parler de ce qui me déplaît, d'autant plus que cela fait revivre cet instant et que c'est quand même bêtement chronophage.
Mais bon, on peut parfois forcer la nature !

Jeudi soir, avant de répondre à l'invitation de
Marco Tinelli au Pavillon royal pour fêter les 10 ans de son agence, nous sommes allés découvrir "Don Quichotte contre l'Ange bleu". Il s'agit de la dernière production de Jérôme Savary, au Théâtre de Paris. Le héros de La Mancha monte jusqu'à Paris pour corriger Daisy Belle. Il veut la punir d'avoir défigurer son paysage avec une affiche obscène à la gloire du Moulin Rouze.


Généralement, j'apprécie énormément
les spectacles de Savary. Son histoire « Looking for Joséphine » Baker il y a un an, et la « Belle et la toute petite bête » auparavant m'avaient enchanté.
Mais avec ce Don Quichotte contre l'Ange bleu, je suis mitigé. J'aime beaucoup l'aspect cabaret, les costumes sont très bien et l'enthousiasme de Savary pour le spectacle vivant est très communicatif. Mais l'histoire n'est pas au rendez-vous. Je n'ai pas été pris dans un tourbillon dépaysant. Je n'ai pas décollé. Je n'ai pas été transporté.
Bref, je suis un peu déçu.
Mais que cela ne vous empêche pas d'y aller et de vous faire votre propre opinion ! Peut-être que vous aimerez...
Cette petite déception ne m'empêchera pas de retourner au théâtre en général, ni aux spectacles de Savary en particulier.

Bon, voilà, c'est fait. Un peu moyen cette critique critique !

vendredi 11 janvier 2008

Le fil à couper le buzz # 7 : l’apéritif 2.0

Le fil à couper le buzz est une rubrique dans laquelle je fais part de mes observations sur le web2.0.
Aujourd'hui, je vais m'arrêter sur une innovation dans les réseaux sociaux.


Contexte :

Depuis quelques années, les réseaux sociaux ont permis de constituer des listes de contacts. C'est le principe de base. Ces listes permettent d'envoyer des messages à des centaines de contacts, par exemple pour les convier à un évènement.

Ainsi notre camarade planneur stratégique
Jeremy Dumont invite régulièrement quelques milliers de marketeurs et communicants à ses "apéros du jeudi", initialement grâce au réseau Viadéo, et aujourd'hui via facebook.
Et voilà comment le réseau permet chaque mois à de
centaines de personnes de se réunir et d'échanger autour d'un sujet défini à l'avance. Du virtuel au réel finalement.


L'innovation

Dans ma veille internationale, j'ai observé une nouvelle utilisation de ces réseaux sociaux.
Après les apéros du réel au virtuel, le
directeur de création d'une agence new-yorkaise a proposé en décembre une initiative pour le moins originale : un véritable apéro 2.0 (et même plus, un vernissage 2.0).

En fait, il a tout simplement invité ses "friends" de facebook à l'inauguration de la mise en ligne de ses photos :
“(…) celebrate officially the upload of the last picture with a virtual opening, on Thursday 20th at 11:59AM NY time.
Get a glass of Prosecco, make yourself a Caipirinha, and wait for the link to reach your inbox on thursday. Cheese puffs optional but highly recommended. Suggested soundtrack: anything "Evil Death Machine" or "Choir of Young Believers" (their music is as great as their name is ugly)
If you can't make it on time, well, pick a date that's more convenient for you and have your own private virtual opening. As long as you have a drink and a computer.
Enjoy, I see you at the virtual closing, before the next flickr set.
Oh and it's best seen in Safari, for some web color profile annoying shit.
Oh and also, this is not at my place, this takes place WHEREVER you want, where you can have a computer with an internet connection.”



L'invitation était ouverte : « Guests are allowed to bring friends to this event » (en terme de viralité, on ne peut pas mieux faire ;-)). Ce qui a permis de mobiliser plus de 250 personnes. Les participants n'avaient plus qu'à se connecter devant leur ordinateur le 20 décembre à 18 heures. Et pour que l'apéro soit réussi, chacun a pris soin de s'installer après s’être servi un verre (Just a good excuse to drink in front of your computer).

En guide de conclusion, presque le mot de la fin :
« Thanks guys for all the emails!
Really encouraging.
And the Champagne Rosé was delicious, here in the NY office ;)”

Ce que je trouve vraiment original, c’est que la rencontre 2.0 va jusqu’au bout de la démarche. Du virtuel (l’invitation) au virtuel (le vernissage)…en passant par la réalité (les photos présentées au vernissage). Et la boucle est bouclée !

jeudi 10 janvier 2008

Flamen'ka Nueva

Le soleil est arrivé hier soir un peu avant neuf heures. Vous n'y avez peut-être pas prêté attention, mais hier matin, le jour ne s'est pas levé !

Heureusement pour nous, merveilleusement, sur la scène du Casino de Paris, à 20:50, un astre solaire, un immense éventail paré de couleurs chaudes est apparu, pour ouvrir le spectacle Flamen'ka Nueva et réchauffer notre journée.


Flamenka, c'est une histoire d'amour...

> Amour, séduction, jalousie pendant deux heures de show ! Car c'est bien là que réside toute l'histoire (n'est ce pas l'histoire de toutes les histoires ?)

> Amour entre le flamenco et les autres styles musicaux : Flamenka n'est pas un spectacle de flamenco, c'est la rencontre, l'échange, l'union entre l'émotion andalouse et des rythmes plus dance, plus classique, plus variété... Le flamenco se fait Don Juan pour séduire et faire danser toutes les musiques du monde !

> Amour entre les 18 danseurs et chanteurs sur scène et les centaines de spectateurs qui se sont massés au Casino de Paris hier soir...

> Amour encore quelques jours : le spectacle se poursuit jusqu'au 13 janvier. Dépêchez-vous pour réserver, vous serez enchanté !

(merci encore à Ann pour avoir illuminé ainsi notre soirée d'hiver.)

mardi 8 janvier 2008

les âmes frères à l'espace Pierre Cardin

Hier soir, Sissi étant invitée à l’espace Pierre Cardin, nous avons eu la chance de découvrir un très beau spectacle de danse contemporaine. Le duo Julien Lestel et Gilles Porte donnait en effet la dernière représentation parisienne de « les âmes frères ».


Cette performance dansée, c’est l’histoire d’une vraie rencontre, d’une profonde amitié, d’une énorme complicité entre deux hommes, comme « les âmes frères » le laisse deviner.
Des hommes qui s’élancent et se balancent dans un jeu de lumières entêtant, un être à 4 bras 4 jambes qui se meut au rythme d’une musique envoûtante (au bout d’un moment, je me suis aperçu que je marquais malgré moi le rythme de cette musique et de ces mouvements).

Ces corps impressionnants, tant par ce physique esthétique que par leur harmonie et légèreté, ces corps donc m’impressionnent car ils me renvoient une image de discipline personnelle, de recherche d’excellence et de grâce accomplie. Ces corps, ce sont ceux de Julien Lestel et Gilles Porte, qui se sont connus et liés d’amitié à l’Opéra de Paris où ils étaient petits rats, avant de travailler avec quelques grands, parmi lesquels : Dupont, Nourreev, Pietragala…

Alors ce qui est dommage, c’est que c’était la dernière hier à l’espace Pierre Cardin. Mais si vous êtes en région parisienne, vous pourrez les retrouver à Neuilly le 22 janvier (théâtre le Village).
En province, quelques dates aussi :
18, 19 janvier, théâtre du Gymnase, Marseille
31 janvier, théâtre le Casino, Aix-les-Bains
25 avril, l'Artea, Carnoux-en-Provence
5 juillet, les Zestivales, Le Havre

www.julienlestel.com