vendredi 31 août 2007

Buzz ou Bush à oreille : de qui se moque-t-on ?

Bush by Jonathan Yeo
Limited edition screenprint 2007
©
http://www.jonathanyeo.com/

On est en droit de se poser la question… De qui se moque-t-on ? En tout cas, la Maison Blanche semble encore chercher !
L’artiste Britannique Jonathan Yeo a dévoilé son portrait de George W. Bush ce mois-ci. Il s’agissait à l’origine d’une commande pour la bibliothèque Bush, mais l’équipe et l’artiste ont été remerciés un peu tôt.
Du coup, on n’en croit pas ses yeux, surtout s’ils sont surmontés de peau de pénis, on n’en croit pas ses oreilles, surtout si elles abritent en leur sein une scène de fellation ! Si si, regarde de plus près !

Ça fait penser à ces images à double détente, à double vision.


En d’autre temps, Arcimboldo composait les visages avec des fruits et des légumes…


Autres temps, autres mœurs

jeudi 30 août 2007

En plein milieu du nombril

Quand je me déciderai à faire un article sur l'égotisme que partage la communauté bloggeuse, il faudra que je me souvienne de cette vidéo.



L'exercice d'auto-congratulation de la communauté égotique me fait penser à ce morceau des Daft Punk, qui rendait hommage à la communauté des DJ (il y a plus de 10 ans je crois). Les paroles du morceau étaient la succession des noms des DJ. Ni plus, ni moins.
Merci à Olivier qui a retrouvé le titre : Teachers. Il a depuis été remixé

mardi 28 août 2007

Une journée pour l'innovation FooD

Si comme moi le FooD vous passionne, qu'il s'agisse de Food design ou de Food Marketing, voici LE RDV à ne pas manquer !!!

Parce que l’innovation est le moteur du Food Marketing, l’équipe du SIAL organise, à Paris, cet automne :
INNOV&VOUS

Une journée pour faire le point sur les tendances et les innovations FOOD.


Au menu :

Conférence d’introduction : Détecter les tendances et faire émerger les attentes consommateurs

Table ronde 1 : Démystifier l’innovation : croisez les regards, ou comment voir ailleurs avec efficacité
- L'importance de croiser les regards
- Voir ailleurs ce qui se passe : oui mais où ça et comment ?
- L'innovation est souvent toute proche pourtant on ne la voit pas

Table ronde 2 : Prenez le temps d’innover pour gagner du temps : initiez, motivez et organisez l’innovation dans les équipes, dans les budgets
- Oser prendre le temps de bien innover
- Exploiter les sources d'inspiration, optimiser les ressources
- Organiser et structurer l'entreprise et les équipes pour innover

Table ronde 3 : Accompagnez l’innovation pour qu’elle marche !
- Soutenir le lancement : optimiser l’accompagnement de son innovation au niveau marketing, communication, promotion et merchandising
- Utiliser de nouveaux outils de promotion et communication
- Séduire le consommateur ! l’impliquer et le faire intervenir dans le processus d’innovation

Ateliers veille et créativité

Conférence de clôture : La nouvelle innovation par Gérard Mermet

Remise de Prix aux meilleures innovations alimentaires et non alimentaires


Le 27 novembre au Palais des Congrès Paris
par les organisateur du SIAL, salon international de l’alimentation
www.agitezvouslinnovation.com

DJ battle : eurostar vs TDK

Comment ne pas penser à nos amis d’eurostar en voyant la nouvelle campagne TDK ?
Toutefois, l’utilisation des sosies appuie deux discours diamétralement opposés…

Un l'assume et joue le second degré dessus



L'autre, pas du tout



lundi 27 août 2007

Société de consommation 3.0 avec Dezzer.com et Vélib


L’été 2007 marque le début d’une nouvelle société de consommation. J’en veux pour preuve le lancement le 15 juillet de Vélib et le (re)lancement de Dezzer.com. De quoi s’agit-il ? d’un côté, la mise à disposition gracieuse (ou quasi gracieuse, les quelques euros éventuellement demandés étant dérisoires par rapport à la valeur perçue) d’un service de transport ou de loisirs, de l’autre, également la mise à disposition gracieuse, d’un catalogue de centaines de milliers titres de musique – je souligne la révolution : grâce à Dezzer, on n’est plus dans le pillage et le piratage ; suite aux accords négociés avec la SACEM, Dezzer est une solution gratuite pour les internautes, avec rémunération des acteurs de la création musicale via les revenus publicitaires.Ceci nous amène à envisager de façon complètement nouvelle notre relation aux produits ou au service.

Pendant des siècles, nous avons été dans une société de consommation “traditionnelle” : pour obtenir l’usage d’un produit ou un service, je me déplace chez le vendeur (ou ce dernier vient à moi), je choisis, et je dois payer l’achat principalement, la location parfois. Si je veux écouter de la musique, je vais dans un magasin et j’achète un disque. Si je veux partir en week-end à la campagne, je vais chez Avis, je loue une Classe A. Classique.

Plus récemment la société de consommation est entrée dans une autre dimension. La consommation s’est dématérialisée. Pour voir un programme audio-visuel (films, séries, etc.), j’utilise la V.O.D. : je regarde, je choisis, je paye. Parfois, j’ai accès à un programme gratuit (cf. les épisodes de Mystère en libre accès sur le site de TF1 au lendemain de la diffusion). Ici, il s’agit encore essentiellement de produits de grande consommation culturels (musique, livres, films, séries, etc.).
En parallèle, la société de l’information a évolué elle aussi : informations gracieuse via pléthores de journaux papiers gratuits (urbains avec A nous Paris / Lyon / Lille / … - spécialisé avec SPORT, généralistes et quotidiens avec Métro, 20 minutes, Direct Soir, Matin plus) d’une part, informations gratuites, mais surtout “dématérialisées”, immédiates via les sites de médias et leurs flux RSS d’autre part.

2007 : la “société de consommation 3.0”. Ce qui est nouveau, c’est que l’offre produit ou service n’est plus simplement gratuite, donnée. Peut-être qu’avec toute la médiatisation autour de la problématique du développement durable, il y a une prise de conscience des problèmes de consommation à outrance ? En conséquence, les produits / les services ne sont plus donnés… mais prêtés ! Il s’agit d’une mise à disposition massive. Car ce n’est pas un microphénomène : 20 000 Vélib à Paris d’ici la fin de l’année, mais aussi des milliers à Lyon (3000 Vélo’V depuis 2005), Aix en Provence (200 V’Hello depuis juin) et Marseille, Mulhouse et Bruxelles (d’ici quelques semaines). Quant à Dezzer, ce sont quelques 200 000 références au catalogue prêtés en libre accès. Pour ne pas être en reste, Universal prépare sa riposte face à cette concurrence de Dezzer, preuve s’il en fallait une qu’il ne s’agit pas d’un épiphénomène.

La Société de consommation 3.0 est ainsi une ère nouvelle pour les consommateurs, mais aussi pour les marketeurs. La fonction de base de ces derniers reste pourtant la même : comprendre les attentes des premiers et leur offrir les produits ou services en conséquence. En prenant en compte cette nouvelle relation du consommateur au produit / service, c’est la conception même de l’offre qui doit être repensée. Quels nouveaux produits ou services, physiques ou dématérialisés, mais surtout mis à disposition gracieusement ? Dans le secteur transport avec l’automobile et les parkings ? dans le logement peut-être ? et dans de nombreux services je l’espère... C’est là le nouveau défi marketing de cette rentrée 2007 et des mois à venir. Ce contexte nouveau donne donc la part belle à l’innovation marketing et à la créativité ! Tant mieux !

samedi 25 août 2007

La vraie vie des poissons

La Pinacothèque de Paris s’est installée Place de la Madeleine au début de cet été. Pour ce qui ne connaissent pas encore l’établissement, je précise tout de suite… ce n’est pas le musée de l’histoire de la pina colada, mais une galerie d’art.
Nous avions visité en juillet la rétrospective Roy Lichtenstein : Évolution. J’avais trouvé la démarche intéressante : au-delà de l’émotion suscitée par les oeuvres, elle expliquait la démarche de l’artiste, entre collages, peintures et sculptures. Elle montrait ses inspirations, de Van Gogh et Cézanne aux héroïnes de bandes dessinées américaines, en passant par Tintin et Donald Duck.
Mais si la Pinacothèque propose des rétrospectives de figures connues et reconnues de l’art contemporain, Marc Restellini, le directeur se fait un devoir d’ouvrir ses portes à de jeunes artistes.
En ce moment, et jusqu’à mi-septembre, on peut admirer une partie des travaux photos de
Anne-Catherine Becker-Echivard.


L’artiste s’inspire de son époque : citons rapidement la discrimination face au sida, les murs qui s’érigent dans les villes ou qui font des prisons, le travail à la chaîne et l’exploitation industrielle des homes, etc. Outre le fond, le message, ce qui interpelle, c’est la mise en scène artistique. Parce que Anne-Catherine Becker-Echivard est loin de montrer son sujet à la manière d’un reporter sans frontière. Loin loin de là ! C’est à travers la création d’un décor humoristique, onirique, esthétique, dans lequel des personnages à tête de poisson vont s’exprimer, jouer, parler, travailler… La photographe travaille avec de vrais poissons venant soit de Rungis soit du marché en bas de chez elle. Elle les lave, les écaille, les vide, en passe le corps à la poèle et garde la tête pour ses remarquables mises en scène.

mercredi 22 août 2007

Chouette c'est l'automne

Quel temps cet été...
C'est dommage ? Vous allez voir, vous allez aimer l'automne...
Je vous propose de partir pique-niquer avec Fauchon

FILET DE PAIN RÔTI
Pain sarrazin et pruneaux, lamelles de poitrine fumée

UBERGINE DES BOIS
Joue de boeuf, girolles, cèpes, champignons de Paris et enokis

SAINT-JACQUES EN CRISTAL DE PAPILLOTTE
Noix de Saint-Jacques, Vitelotte et gelée au vin de Bourgogne FAUCHON

CLUB FORÊT NOIRE
Biscuit chocolat amer, Chantilly au kirsh, griottes confites et confiture de framboises


Ce qui est intéressant, c’est cette recherche et cette innovation alimentaire, cette manière de décomposer les propositions alimentaires pour les recomposer de façon originale.
A ce niveau, les mots n’ont plus trop d’importance : on rentre dans la composition alimentaire (ou à défaut dans son illustration photographique). On est dans le ressenti, dans l’émotion.

Aujourd'hui Michalak

Je me balade souvent, de sites de palaces ou autres grands hôtels, en blogs de grands chefs. Je considère cet espace comme le département Recherche & Développement de la gastronomie mondiale ou mondialisée. Cela inspire la créativité !
Et puis, miam, il est bientôt l'heure de manger...



Et aujourd'hui, j'étais donc sur le site de Michalak (pas Frédéric le rugbyman, mais Christophe, spécialiste de la pâtisserie et qui officie au Plaza Athénée).
A table les amis !



Tarte rigolote au fromage blanc et citron vert-framboise


Surprise poire et caramel


Cerise en trompe l’œil

Photos: © Roméo Ballancourt


mardi 21 août 2007

Etude socio-économique du luxe

Hier après-midi, en pleine rédaction de la reco stratégique pour un nouveau client de l’agence Le Fil, je reçois un appel d’Amandine, notre hôtesse d’accueil : « tu as reçu un petit colis ». J’émerge de mes cogitations et je découvre un mignon petit sac noir, très élégant avec son vernis brillant et sa cordelette tressée. Intrigué, je cherche le logo de la marque prestigieuse qui m’adresse ainsi un cadeau. Chanel ? Hediard ? Non, rien, si ce n’est une étiquette avec mon nom. Bigre, c’est le summum du luxe : un packaging sans marque, sans logo, seulement pour les initiés, les happy fews, et livré par coursier.

Je m’empresse donc d’ouvrir mon présent. Et surprise ! C’est pas du luxe ! Ou plutôt, « C’est pas du luxe » : j’ai entre les mains le dernier ouvrage de mon ami Benoît Héry (nous nous connaissons depuis 1999, à l’époque où CallegariBerville était indépendante) et de son équipe des éditions l’œil du mouton.
« C’est pas du luxe » est une analyse socio-économique du luxe. La mise en scène, que je viens d’évoquer, pour présenter l’ouvrage est donc tout à fait idoine pour le sujet. Car oui, on a une idée préconçue du luxe : on pense à des produits raffinés, finement travaillés, de façon artisanale, présentés dans un packaging élégant, pour des prix ahurissants, qui les réservent donc à une élite. Et c’est parfaitement vrai…
Mais si je vous parle d’accessoires produits de façon industrielle à des millions d’exemplaires et vendus à quelques dizaines d’euros seulement aux 4 coins du monde ? Si je fais référence à ce bijou de portable argenté Dior à 95 € ou à ce porte-clé Paul Smith à 55 € ? Et bien je vous parle aussi de luxe. Et la définition que je viens d’énoncer 5 lignes plus tôt s’effondre !
Car voila, le luxe a énormément évolué ces 20 dernières années.. Il est multiple, il est diversifié. Il s’adresse aux élites… et aux autres. Il est privilège… et mass market. Les collections de haute couture des grandes maisons et les accessoires -tellement indispensables- sont deux parties d’un même tout !
Oui, le luxe est complexe et cette analyse nous permet de prendre du recul sur le sujet.
Et surtout le luxe est devenue une industrie hyper-markétée et profitable, à voir les achats par de puissants groupes d’investissement.


A noter :
1./ J’ai apprécié l’analyse du cas d’école Karl Lagerfeld pour H&M. En effet,
j’avais de mon côté analysé le sujet en me basant sur la collaboration entre H&M et Victor & Rolf il y a bientôt un an. Une recette qui marche bien : après avoir annoncé qu’elle ne renouvellerait pas l’opération après les collaborations avec Lagerfeld, Stella Mc Cartney et V & R, H&M est finalement allé chercher Roberto Cavalli pour son prochain temps fort promotionnel de la mi-saison automnale !!!
2./ Un secteur que je considère comme appartenant au luxe est passé sous silence : la haute restauration, les grands restaurants.
La table de Pierre Gagnaire, c’est pas du luxe ???

lundi 20 août 2007

Interview de Julia avec les clients de Le Fil

Le Fil, c'est aussi un lien de confiance qui unit l'agence avec ses clients, dans une relation partenariale entre agence et annonceur.
Pour illustrer cette confiance, nous avons à coeur de donner des interviews avec le duo agence-client.
Ainsi, vous retrouverez ci-dessous :

- l'interview filmée de topcom avec Julia Drupt (fondatrice de Le Fil) et Yann Jehanno (directeur de la franchise du réseau immobilier Keops)


- l'interview filmée de topcom avec Julia Drupt et Catherine Chaplain (directrice de la visibilité consommateurs, du merchandising et des animations Sodexho)

Interview de Julia et Catherine pour L'Expression de l'entreprise

Pour couronner le succès du plan Passion Couleurs, Julia Drupt (fondatrice de l'agence Le Fil) et notre cliente, Catherine Chaplain (directrice de la visibilité consommateurs, du merchandising et des animations Sodexho) ont été interviewées par le magazine L'expression de l'entreprise.
Une interview qui illustre le type de partenariats que nous mettons en place chez Le Fil, entre l'agence et l'annonceur.







Le Fil récompensé

Au mois de mai est venu le temps des récompenses de la profession.

Et c'est avec un grand plaisir que nous nous sommes rendus à la Marie de Levallois, pour recevoir le Trophée de la Communication - Com à Levallois (catégorie édition), remis par les étudiants de l'Iserp-Itaim.

Cette récompense m’a fait d’autant plus plaisir, qu’elle récompensait le travail de longue haleine de Chaïma Kadhi, Lisa Prunel et Philippe Leberte pour la réalisation du consumer magazine puériculture de Auchan.




Le plan annuel
Passion Couleurs conçu et réalisé par l’agence pour Sodexho connut également quelques succès que j’ai déjà évoqués :
- Prix Stratégies du marketing opérationnel et relationnel, catégorie service
- Trophée de l'Innovation Marketing Magazine, catégorie événementiel, trophée d'argent- 2 étoiles au hit CB News
Pour les Top Com, on en reparle dans 1 an
;-)

La vie de Le Fil

Reprenons l’histoire depuis les origines du métier à tisser…


Comme l’indiquer mon profil, je suis planneur stratégique au sein de l’agence de communication Le Fil. Grâce à cette mission, j’ai la chance de travailler en amont sur les stratégies de la plupart des clients de l’agence. Je prends également en charge la communication de l’agence.
Au gré des coupures de presses que vous trouverez ci-dessous, vous pourrez voir l’évolution de l’agence Le Fil.

L’agence fêtera bientôt ses 1 an… Et oui, il y a bientôt 1 an, la presse pro se faisait l’écho de la création :




Dès le début de l’année 2007,
ces titres annonçaient le gain de nouveaux budgets :






Un bon départ pour l’agence Le Fil.

Rentrée avec Greffe de vie : une pensée pour y penser


Ça y est, c’est la rentrée !
Et pour bien commencer, je viens de faire mes premières propositions à la
Fondation Greffe de vie. Comme je le disais plus tôt, j’ai décidé de devenir bénévole pour cette fondation qui promeut le don d’organes et agit pour l’information de tous à ce sujet.
A noter déjà dans les agendas : l’opération «
une pensée pour y penser », qui aura lieu le week-end du 13 et 14 octobre (à Paris, sur le parvis de Notre Dame). L’objectif est d’informer sur le don d’organes. Mais c’est aussi une opération festive : des jardins extraordinaires et éphémères, composés de milliers de pensées vont fleurir un peu partout (chacun pourra cueillir une pensée en échange d’un don symbolique de 2€). Des animations (concerts, spectacles…) sont également prévues
Charlotte Valandrey est cette année la marraine de l’événement
Rendez-vous le 13 ou le 14, nous nous croiserons peut-être !

vendredi 17 août 2007

vie et mort d'une pomme

Notre destin ne vaut pas mieux que celui des pommes.
Cela étant dit, j'aime bien les travaux du duo Paloma Muñoz et Walter Martin.

mardi 14 août 2007

la triste vie des tout petits hommes

Après les minimiam, l'aventure continue dans le monde des tout petits hommes.
J'aime beaucoup
l'univers de slinkachu et me promener au gré des journées blogguées







Billy johnson pour Greffe de vie



J'ai décidé de devenir bénévole pour Greffe de vie.
La démarche est assez simple. Elle part du principe que j'ai reçu un corps à la naissance et qu'à ma mort, je le donne à ceux à qui il pourra être utile. Tout simplement.
Il faut savoir que si l’on a pas déclaré que l’on s’opposait au don d’organes, on est supposé être pour. C’est la loi. Mais dans les situations difficiles, ce n’est pas toujours facile de connaître la volonté du potentiel donneur… La fondation Greffe de vie milite pour le don d’organes et pour l’information à ce sujet. Elle a mis en place le « Passeport de vie » : il permet d’affirmer que l’on est prêt à donner ses organes pour sauver des vies et de le dire à ses proches. Ce qui a permis en outre de lancer un buzz autour du passeport de vie, de part sa mécanique virale.

lundi 13 août 2007

Prix Stratégies du marketing opérationnel et relationnel

Rebelote le lendemain soir : nouvelle soirée de remise de prix

On monte sur scène avec Hélène Souef (agence Le Fil), Mathieu Braun (Sodexho), Julia Drupt (Le Fil), Catherine Chaplain & Laurent Voisin (Sodexho) pour recevoir son prix (catégorie Services)


Puis on boit des coupes avec ses amis : Catherine Chaplain & Laurent Voisin (Sodexho) et Stéphane Raoul (Rapp Collins)


Et après, on retrouve tout ça dans le journal



Trophée de l'innovation Marketing Magazine

Après l'écrit, il faut passer l'oral et convaincre le grand jury composé d'une vingtaine de Directeurs Marketing


Pour voir comment convaincre ce jury, cliquez sur la dernière vidéo en bas (les candidats 3). Attention, j'ai au moins 3 secondes (0'31 à 3'34)

Puis vient l'heure de la cérémonie...

Résultat :

Suivie d'une sympathique soirée dans le Pavillon d'Armenonville (Bois de Boulogne)

Marketing Magazine en parla fin juin